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Ma culpabilité, Il l’a assumé

Né dans le monde, l’Ancien des Jours;

Dieu éternel dans la chair humaine,

Les pécheurs comme moi, Il est venu pour sauver.

Il endossa ma culpabilité et subit la malédiction.

Le Saint et le Juste, 

De mes impuretés fut vêtu.

 

Sur son corps sans péché,

La juste colère de Dieu se déchaîna.

Le Fils bien-aimé de Dieu à la place des pécheurs –

Brisé et abandonné par le Père qui aime,

Méprisé et rejeté par ceux qu’Il est venu sauver.

 

Du trône à la croix,

Le Glorieux descendit,

Plein de grâce et de vérité, 

Condescendant à notre fragilité.

Le Créateur du ciel et de la terre,

Par les mains des pécheurs fut fouetté et blessé;

Obéissant et plein d’amour, 

Il s’offrit à la mort.

Car c’était la volonté du Père de Le briser,

Afin de pourvoir à ses élus paix, guérison et vie.

 

Le Fils éternel de Dieu 

Sur la croix du Calvaire fut cloué.

Sur l’arbre son corps innocent s’effondra,

Écrasé par la colère qui m’était réservée.

Ce n’était pas à cause de son péché mais du mien qu’Il mourut,

Le Juste pour l’injuste.

 

Mes péchés expiés,

La colère de Dieu satisfaite,

La mort, le péché et Satan vaincus –

Car la mort a bu le sang innocent de mon Sauveur –

Une fois sale et nu,

Maintenant et pour toujours, je suis purifié et vêtu.

Car avec son sang sans souillure,

Mon Sauveur m’a purifié,

Et de sa justice Il m’a revêtu.

La mort a perdu son emprise sur moi!

 

Ô Rédempteur de mon âme,

Qui est comme Toi? 

Tu es le Dieu Saint et Vrai!

Tu as scellé dans ton amour

Ceux pour lesquels Tu es mort.

Tu as été retranché du pays des vivants,

Roué de coups pour nos transgressions; 

Néanmoins, le troisième jour, Tu ressuscita, 

Victorieux et vivant pour toujours! 

 

Ô Dieu Vivant, majestueux en beauté,

Il n’y a pas de vie en dehors de Toi!

 Tu es la Vie et la Lumière des hommes.

Plongée dans les ténèbres, mon âme autrefois croupissait, 

Désespérée et dépravée,

Languissant sous l’emprise de la Mort.

Puis vint le Sauveur et Gardien de mon âme.

Tu étendis ton bras, O Éternel de mon salut,

Et de la fange Tu me tiras et donnas la vie.

 

Béni soit ton saint nom, 

Mon Seigneur et mon Dieu!

Car Tu m’as regardé avec bienveillance.

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